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Cette chronique n'est connue que par une mention de Jean Praillon qui la cite à propos du siège de Metz en 1444 (BMI Epinal f°276v).
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Cette chronique de 215 p. couvrait les années 1170-1507 ; elle a été détruite le 31 août 1944. Elle s'intitulait "Sy après sont escripts tous les maistres eschevins qui ont estés en Mets". Son nom actuel lui a été donné par le comte Emmery : c'est celui d'un propriétaire plus ancien. Emmery attribuait le texte à Praillon dans une note initiale. L'attribution à Praillon n'est pas vérifiable. Selon Mireille Chazan, on pourrait identifier le texte aux "petites chroniques de Praillon" que mentionne Paul Ferry en même temps que les "grandes chroniques" qui correspondent sans doute au ms. 131 d'Épinal.
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Ces trois volumes, réputés détruits par le feu du fort Saint-Quentin le 31 août 1944, constituaient le manuscrit autographe des chroniques de Philippe de Vigneulles. Ils ont servi de manuscrit de base à l'édition de Charles Bruneau (manuscrit M). Le manuscrit a appartenu à Paul Ferry et à Jean-Louis Claude Emmery. Écriture du commencement du XVIe siècle, avec des initiales ornées et quelques dessins à la plume.
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Manuscrit autographe des Chroniques de Jacques Desch. Manuscrit réputé détruit par le feu de Saint-Quentin le 31 août 1944. Le manuscrit a appartenu à Jean-Louis-Claude Emmery.
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Le commencement du volume contient une copie de la Chronique rimée de Metz portant sur l'histoire de la ville depuis ses origines, dont il manque les premiers quatrains, avec une continuation jusqu'en 1635. Le texte est complété par le journal en prose, ou chronique, de Jean Bauchez, de 1635 à 1650, qui occupe la plus grande partie du manuscrit. Cette dernière partie, le journal de Jean Bauchez, a été publié d'après ce manuscrit par Charles Abel et Ernest de Bouteiller en 1868. Manuscrit réputé détruit par le feu de Saint-Quentin du 31 août 1944.
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Copie de la Chronique rimée de Metz, portant sur l'histoire de la ville de Metz jusqu'à 1510. Manuscrit réputé détruit par le feu au fort du Mont-Saint-Quentin le 31 août 1944. L'auctorialité de ce texte a été attribuée à tort à Jean le Châtelain. Le texte est anonyme.
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Manuscrit détruit par le feu du fort Saint-Quentin le 31 août 1944. Copie de la copie la plus ancienne, (ms. 2001 en possession de la Bibliothèque de Sainte-Geneviève de Paris), exécutée pour Augustin Calmet, commanditaire de la copie.
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Chronique rédigée sans doute par un clerc vers 1527-1552. Le texte original est perdu à part l'extrait édité par Auguste Prost, dans