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Dans le manuscrit de Vienne, Jean Aubrion a copié ce texte anonyme à la suite de la chronique de Pierre Didier (f°58-72v) pour couvrir la période de 1445 à 1464 et assurer le lien avec sa propre oeuvre, le Journal d'Aubrion, qui commence en 1465. Il permet ainsi de construire une histoire continue de Metz. La compilation de Londres copie également le texte à la suite de celui de Didier. Le texte inédit est à paraître dans l'édition de Pierre Didier préparée par Mireille Chazan. La Continuation est assez proche de la chronique des Maîtres-échevins et peut être datée des années 1480-1500.
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La copie de la chronique de Jacomin Husson a été continuée d'une autre main (Paris, BnF fr 5395 f°-98v°-113), avec différentes encres, constituant selon Prost la "minute originale de l'auteur". Ce texte composé par un fils de François le Gournay couvre les années 1518-1530. Il s'agit sans doute de Renaud le Gournay († 19 février 1531). Resté inédit, il a servi de base à l'édition pour la compilation d'Huguenin pour les années 1526-1530.
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Cette chronique n'est connue que par une mention de Jean Praillon qui la cite à propos du siège de Metz en 1444 (BMI Epinal f°276v).
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Cette chronique de 215 p. couvrait les années 1170-1507 ; elle a été détruite le 31 août 1944. Elle s'intitulait "Sy après sont escripts tous les maistres eschevins qui ont estés en Mets". Son nom actuel lui a été donné par le comte Emmery : c'est celui d'un propriétaire plus ancien. Emmery attribuait le texte à Praillon dans une note initiale. L'attribution à Praillon n'est pas vérifiable. Selon Mireille Chazan, on pourrait identifier le texte aux "petites chroniques de Praillon" que mentionne Paul Ferry en même temps que les "grandes chroniques" qui correspondent sans doute au ms. 131 d'Épinal.
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Journal des Maîtres-Échevins. Le manuscrit a appartenu à Jean-Louis Claude Emmery et à Auguste Prost.
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Chronique rédigée sans doute par un clerc vers 1527-1552. Le texte original est perdu à part l'extrait édité par Auguste Prost, dans