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Édition de l'Abrégé de la Chronique de Charles VII, sous le titre Extrait du Tableau des rois de France], dans le Procès de condamnation de Jeanne d'Arc, vol. IV p. 325-328.
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Copie du manuscrit BnF n.a.fr. 1510 contenant l'Abrégé des chroniques de Charles VII et la chronique du curé de Saint-Eucaire, attribuée à Pierre Didier
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Copie du premier tiers du XVIIIe siècle de la chronique du curé de Saint-Eucaire, Pierre de Saint-Dizier. Le manuscrit comprend deux parties : la première présente une liste des rois de Jérusalem (p. 1-7), suivie d'un prologue (p. 7-8) et du Livre de Geoffroy le Tor (p. 9-27) ; la seconde partie contient l'Abrégé des chroniques de Charles VII (p. 27-32), suivi de la chronique du curé de Saint-Eucaire (p. 33-285) et un glossaire (p. 286). Le manuscrit provient des Archives nationales de France et a appartenu à François Blouet de Camilly, évêque de Toul (1704-1721).
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Recueil de la fin du XVIe et du début du XVIIe siècle en deux parties. La première (fin XVIe siècle) comporte une chronologie des rois de France (f°1-2) ; l'Abrégé des chroniques de Charles VII (f°2-4) et la Chronique de Metz du curé de Saint-Eucaire (f°5-103). La deuxième partie (XVIIe siècle), à foliotation différente contient "l'ordre de chevalerie du croissant esmaillé soub l'invocation de Mr S Maurice en sa ville d'Angers" établi par René d'Anjou et le "devis du livre qui parle du champ de bataille présenté par messire Harduoin de la Jaille a [...] Mgr René duc de Lorraine".
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Manuscrit de la fin du XVIe siècle. Il contient une généalogie des rois de France de Pharamond à Charles VII (f°1-2) et un abrégé des chroniques du roi Charles VII par le doyen de Saint-Thiébault (f°2-4, texte édité par Quicherat) ; une copie de la Chronique de Metz du curé de Saint-Eucaire de 1231 à 1445, par Pierre Didier, ici intitulée « Histoire de Metz véritable », qui se termine par la mention du supplice d'un paysan de Chieulles avec une nouvelle numérotation des feuillets (f° 1r-112) ; il s'achève par un glossaire (fin XVIe siècle) (f° 115-119). Le manuscrit a appartenu à Chastre de Cangé, puis a été acquis en 1733 par la Bibliothèque royale. Il constitue le ms. C de l'édition de Mireille Chazan.